France Cartes des archives numérisées (état civil et registres paroissiaux, matricules militaires, recensements, cadastres, archives notariales) : Geneanet (accès gratuit) Voir aussi l'article Archives départementales. Extraits pouvant être très courts, où parfois seul le nom d'un parrain ou d'un témoin est relevé. Ce travail s'effectue à partir de recoupements avec des papiers de famille (faire-part notamment), actes notariés, relevés d'actes paroissiaux et d'état civil réalisés avant 1871 par des archivistes comme Auguste Jal (pour certaines grandes personnalités notamment), mais surtout avec les registres de catholicité (1793-1860) conservés dans les paroisses et qui n'avaient pas été détruits par les incendies de 1871[18]. Les 249 volumes de cette collection ont été numérisés par les cercles de généalogie des Lilas et de Romainville (sous la supervision de Sylvain Oerlemans et Joseph Boulle), ainsi que par D… Les registres paroissiaux, appelés aussi « registres de catholicité », constituent une des sources pour les recherches de généalogie. Comment retrouver un acte qui s'est déroulé pendant les évènements de la Commune entre le 18 mars et le 28 mai 1871 ? La dernière modification de cette page a été faite le 20 novembre 2020 à 16:51. Les registres mentionnés sont des recueils d'extraits dressés par Abraham Charles Guiblet. Au chapitre de Paris[37], après avoir donné textuellement les plus anciens actes, il donne la liste des paroisses parisiennes. Pendant ces journées de guerre civile autour de la Commune de Paris, de nombreux autres bâtiments parisiens sont incendiés, parfois accidentellement du fait de l'artillerie des deux camps, anéantissant en quelques heures des siècles d'histoire : le palais des Tuileries, la bibliothèque du Louvre (le Musée du Louvre échappe à la catastrophe), le Palais-Royal, le palais d'Orsay avec la Cour des comptes, la préfecture de police, le ministère des finances situé dans le Palais des Finances, le palais de la Légion d'honneur (entraînant la disparition de nombreux dossiers de titulaires de la Légion d'honneur), la maison de Prosper Mérimée rue de Lille (anéantissant une partie de ses livres et toute sa correspondance), les Magasins généraux et la gare de Lyon. Dans les diocèses, les séries actuelles de registres paroissiaux remontent parfois à 1795 pour les plus anciens. 136, §4 (JO du 6 avril 1884 - BO, Bibliothèque historique de la ville de Paris, Église Saint-Jacques-Saint-Christophe de la Villette, paroisses de la Madeleine de la Ville-l'Évêque, Saint-Honoré, Saint-Landry, Saint-Médard, Saint-Merry, Saint-Roch, communes se trouvant dans l'ancienne Seine, Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, fiches nominatives numérisées et en ligne, Dictionnaire administratif et historique des rues et monuments de Paris, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Comment les archives nationales ont été sauvées en mai 1871. Cette enceinte englobe la totalité de la ville de Paris proprement dite (les douze arrondissements), mais également l'intégralité ou une partie des communes de proche banlieue situées autour de la capitale : ainsi, les habitants de ces communes vivant à l'intérieur de l'enceinte sont séparés du reste du territoire par les énormes fortifications aux cinquante-deux portes ou poternes tandis qu'ils se distinguent des Parisiens par l'absence de droits d'octroi, les barrières des fermiers généraux restant la limite administrative de la capitale[19]. » Dans sa seconde édition en 1872 de son Dictionnaire critique de biographie et d'histoire, l'archiviste Auguste Jal note quant à lui : « Les Archives de l'État civil de Paris ont été anéanties par le feu, au Palais de Justice et au dépôt de l'avenue Victoria, pendant ces jours sanglants de haine furieuse, de criminelles entreprises, d'actions folles et sauvages qui ont signalé les quelques jours du milieu du mois de mai 1871. Par la loi du 19 juillet 1871, les actes d'état civil enregistrés à partir du 18 mars 1871 pendant la Commune de Paris sont annulés puis refaits entre le 1er août 1871 et le 30 septembre 1871 et dans les années qui suivent : on nomme ces actes des « actes bâtonnés »[46]. C'est notamment le cas des dossiers de carrières des officiers (dont les répertoires nominatifs sont consultables en ligne sur le site internet du SHD), mais aussi des registres matricules de l'ensemble des corps d'armée où sont faites pour chaque soldat les mentions de la date et du lieu de naissance, du domicile, du statut marital (nom de l'épouse) et de la filiation (nom des parents). Le plus ancien registre paroissial connu à Paris est un registre des mariages de la paroisse Saint-Jean-en-Grève : en format d'agenda et rédigé en latin, il s'étendait d'avril 1515 à novembre 1521[1]. En juin 1974, le double des actes reconstitués disparaît dans l'incendie du fort de Montlignon (Val-d'Oise) où il avait été entreposé, avec de nombreuses archives judiciaires qui disparaissent également[55]. Si vous ne trouvez pas l'acte que vous recherchez, c'est sans doute que le registre a été perdu avant son arrivée aux archives ou détruit lors des bombardements en 1944. Outre les bureaux de l'état civil, une grande partie du Palais est détruite : la partie affectée au tribunal de première instance, la police correctionnelle, les archives, le parquet général, le parquet du procureur de la République, les cabinets des juges d'instruction, les deux salles des cours d'assises (achevées seulement deux ans auparavant), une grande partie de la Cour de cassation, la Cour d'appel, la salle des pas-perdus et la grand-chambre[29]. Les registres paroissiaux et l'état civil numérisés concernent l'ensemble des 465 anciennes communes (Pdf 169 Ko), à l'exception de ceux de la ville d'Angoulême après 1802 (voir le site des Archives municipales d’Angoulême après cette date). Elle permet toutefois de reconstituer[45] un peu plus de 2,6 millions d’actes, datant pour la plupart du XIXe siècle (seuls 347 000 actes ont été reconstitués pour l'Ancien Régime dont cinq pour le XVIe siècle) et représentant le tiers de l'ensemble des documents détruits : les actes de naissance sont les plus nombreux : environ 1 422 000 actes allant de 1550 à 1859, contre environ 922 000 actes de décès allant de 1568 à 1859 et 322 000 actes de mariage allant de 1630 à 1859[18]. Il faut toutefois préciser que les communes se trouvant dans l'ancienne Seine ont eu, comme pour Paris, leur collection du greffe détruite dans l'incendie du palais de justice le 24 mai 1871, il subsiste uniquement la collection communale qui se trouve soit aux archives départementales des départements de la petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne), soit aux archives communales des communes concernées[42]. Conservée aux Archives de Paris, la collection Mayet est un dépouillement des registres de catholicité des paroisses parisiennes de 1792 à 1860. Il y en a également un par année et par hôpital[61]. La consultation est gratuite mais vous devez disposer d'un identifiant et d'un mot passe. Archives 75 Archives de Paris. Il prône aussi le libre mariage des enfants sans le consentement de leurs parents[6]. Les registres sont consultables en ligne pour la période 1887-1921, avec une indexation nominative, et en salle de lecture pour les autres années, antérieures ou postérieures. Fonds judiciaires Enregistrement des jugements civils et correctionnels, adoptions par la Nation et décès de militaires, ordonnances de restitution en faveur des victimes de spoliations Il faut noter à ce sujet que les Archives de Paris continuent de recevoir des actes ou des reproductions de documents pour compléter les sources de l'état civil de Paris : ces envois proviennent le plus souvent de découvertes faites par des particuliers au cours de leurs recherches dans les différents services d'archives et constituent la suite de la « seconde reconstitution » de l'état civil parisien[52]. Toutes les collections existantes pour la Manche jusqu’en 1892 ont été microfilmées et mises en ligne. Pour les autres départements, consulter l’Annuaire des services d’archives . ». Le concile impose aussi que le mariage doit être contracté librement devant un curé et deux à trois témoins, être précédé d'une publication des bans et être inscrit dans un registre des mariages[5]. les registres de population des hôpitaux publics de Paris. Le registre contient, dans un ordre chronologique, les informations d’état civil et la cause de l’admission ou du décès. Tous les 10 ans, ceux-ci reversent aux Archives départementales les registres de plus de 75 ans. Comme les vingt arrondissements créés sont totalement différents des douze anciens, l’ensemble des registres paroissiaux antérieurs à 1792 et les registres d’état civil pour la période 1793-1859 sont alors placés à l’hôtel de ville de Paris, tandis que les doubles sont entreposés au palais de justice de l'île de la Cité (y compris pour les communes entièrement annexées)[21]. Origine des documents : paroisses de ParisDates des documents : 1791-1909Cotes : D6 J 1-10018Référence de l’instrument de recherche : I.3.1, Consulter la rubrique du cadre de classement, Règlement général européen sur la protection des données personnelles (RGPD), Hommages aux victimes des attentats de 2015, Permis de construire, cartes & plans, cadastre, Administration départementale et régionale, Relevé des baptêmes, mariages et sépultures de la paroisse Saint-Eustache (1530-1792), Relevé des mariages religieux et de quelques baptêmes célébrés à Paris (collection Mayet  1795-1862). Des différences de date apparaissent entre ces deux listes, certaines paroisses manquent dans une liste ou dans l'autre. Seuls les registres de la commune d’Orléans sont publiés sur ce site. En 1847, A. Taillandier publie une liste des dates de début des registres paroissiaux de plusieurs villes, en distinguant, naissances (baptêmes), mariages et décès (sépultures). Les communes partiellement annexées sont Neuilly-sur-Seine, Clichy-la-Garenne, Saint-Ouen, Aubervilliers, Pantin, Le Pré-Saint-Gervais, Bagnolet, Saint-Mandé, Ivry-sur-Seine, Gentilly, Vanves, Montrouge et Issy-les-Moulineaux[19]. Registres de l’état civil (1792-1912) Après la Révolution française, les registres de l’état civil, laïcisé, sont tenus par le maire et concernent la ville entière sans sectorisation. La loi du 10 août 1917 impose, si le dernier domicile est inconnu, de transcrire sur les registres de l'état civil de la mairie du 1er arrondissement de Paris les actes d'état civil suivants : actes de naissance et de décès dressés à bord des bâtiments de mer, jugements déclaratifs de décès, actes de l'état civil concernant les militaires et marins dans certains cas spéciaux, jugements ou arrêts de divorce si le lieu de mariage est dans un territoire occupé par l'ennemi[51]. Inscrit le: 03/02/2018 Messages: 1: Bonjour à tous, Existe-t-il des relevés ou des reproductions des registres paroissiaux de l'Église St Médard à Paris 5è? Les actes de l'état civil ou jugements obligatoirement transcrits à la mairie du, La recherche d'état civil et la consultation des registres, Les tables de l'état civil parisien sont en ligne jusqu'en 1974, Naissance jusqu'à 1912, mariages jusqu'à 1940 aux archives de Paris, Paris : les actes de décès de 1946 à 1986 sont en ligne, Les archives de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris sur Internet, Paris met en ligne des registres de cimetières, des hypothèques et des successions. Les Archives départementales des Ardennes, en partenariat avec la société de généalogie professionnelle Coutot-Roehrig, ont depuis 2009 numérisé les registres paroissiaux et d’état civil qu’elles conservent. Certains sont numérisés : En outre, l’ensemble des communes de la banlieue parisienne, y compris celles se trouvant dans l’ancien département de la Seine (sauf les communes totalement annexées en 1860), ne sont pas concernées, au moins pour leur collection communale, par l’incendie de 1871, et disposent de tous leurs registres depuis l’origine[41]. Avant cette ordonnance royale, quinze paroisses parisiennes tiennent déjà des registres de baptêmes, trois paroisses des registres de mariages et une paroisse des registres de décès[4]. Ils ne voulaient plus de mariages, que leur importaient les registres des anciennes paroisses de Paris et ceux des municipalités où étaient inscrits les actes dont le recueil, pour chacun d'eux, composait l'histoire de sa famille. Horaires d’ouverture A compter du 2 décembre Plus de précisions Les registres paroissiaux. Cordialement.--Laubrière 15 avril 2020 à 22:28 (CEST) Projet Archives nationales (France) ??? Les Archives de Paris ont été dépositaires d’un exemplaire des registres des actes de baptême et de mariage, célébrés dans les paroisses parisiennes de 1791 à 1909. Archives 75 Archives de Paris. Venir aux archives En raison du contexte sanitaire, les conditions d’accueil des publics aux Archives de Paris sont modifiées jusqu’à nouvel ordre. les registres de population des hôpitaux publics de Paris. Tous les registres paroissiaux, établis avant 1792, et tous les registres d'état civil dressés avant 1859 dans les 12 anciens arrondissements parisiens et dans les communes de la banlieue annexées en 1860 ont disparu en mai 1871 dans les incendies qui ont ravagé l’Hôtel de Ville, son annexe et le Palais de justice de Paris. ), ne comportent pas de doubles aux Archives de Paris. En 1890, E. Welvert publie un état sommaire des archives anciennes du département de la Seine, détruites en 1871, état établi par un archiviste de la Préfecture nommé Aubert. Ces documents numérisés représentent environ un million de pages et s'organisent de la façon suivante : répertoires et registres des entrées, sorties, naissances et décès. Cette perte irréparable rend souvent difficile et lacunaire la recherche historique et généalogique à Paris. ont été mis en ligne les fichiers alphabétiques de l'état civil reconstitué (XVIe siècle-1859), les tables décennales et les registres d'actes de l'état civil (1860-1902) ainsi … La barrière d'Italie de l'enceinte des Fermiers généraux en 1819. Ces registres consignent les trois grandes étapes de la vie du paroissien : le Baptême; le Mariage; la Sépulture; Les BMS constituent les sources principales pour établir sa généalogie avant 1792.Consultez aussi les pages suivantes sur : Avant la destruction de l’hôtel de ville de Paris et du palais de justice, les Archives de Paris disposaient, pour la collection municipale, de 4 114 registres paroissiaux antérieurs à 1792 (Ancien Régime) avec 81 registres de répertoires, 47 registres de publications de bans et 15 registres pour l’état civil des protestants[32], ainsi que de 7 300 registres d’état civil contenus dans 1 002 cartons pour la période 1792-1859[33]. L'autre exemplaire de ces registres est toujours conservé dans chacune des paroisses. Pendant la Commune de Paris, le 23 mai 1871, des communards incendient volontairement de nombreux bâtiments publics dont l’hôtel de ville de Paris[22] à l'initiative de l'anarchiste Jean-Louis Pindy[23] : le premier exemplaire de l'état civil et des registres paroissiaux de Paris est alors anéanti en quelques heures, de même que la collection complète de la Bibliothèque historique de la ville de Paris, qui avait été transférée à l’hôtel de ville de Paris[24]. Registres paroissiaux : baptême, mariage et sépulture. En savoir plus. Le minutier central regroupe les minutes (originaux des actes) des 122 études de notaires de Paris, numérotées en chiffres romains de I à CXXII. À Paris, la destruction de l’état civil de la période 1793 à 1859 a placé au premier rang les registres paroissiaux en tant que source de substitution pour retrouver l’état civil et la filiation des personnes. Centre des archives industrielles et techniques Rue du Merle à Saint-Avold Tél. C’est-à-dire dans les 83 paroisses ordinaires, ainsi que dans 21 paroisses hospitalières (1806-1909) et dans la chapelle de la prison Saint-Lazare (1853-1909). 4 millions de pages en ligne vous permettent de consulter les registres paroissiaux, pastoraux et d’état civil de la Charente-Maritime. Registres de l’état civil (1792-1912) Après la Révolution française, les registres de l’état civil, laïcisé, sont tenus par le maire et concernent la ville entière sans sectorisation. Plaque commémorative dans le 16e arrondissement rappelant la réforme territoriale de 1860. En général il y en a un par année et par hôpital. les registres de population des hôpitaux publics de Paris. : 01 78 91 91 18 ; Courriel: archicat@diocese-paris.net. Étaient également prêtes à brûler : la Sainte-Chapelle (déjà recouverte de pétrole), la cathédrale Notre-Dame (l'incendie est éteint par les internes de l'Hôtel-Dieu), le grenier d'abondance sur le bassin de l'Arsenal[30]. Entre-temps presque 28.242 registres, soit plus de 5,8 millions de pages sont disponibles en format digital. Les recensements de 1926, 1931 et 1936 sont consultables en ligne sur le site des Archives de Paris et le recensement de 1946 est consultable en salle de lecture. La loi du 27 juin 1790, votée par l'Assemblée nationale constituante, réorganise la municipalité de Paris et divise la capitale en quarante-huit sections[12]. Les actes bâtonnés, rendus invalides par la loi, apparaissent toujours dans les registres et leur recherche se fait de façon identique aux autres[47]. [...] Ils savaient qu'on allait perdre les actes constatant leur naissance, celles de leurs femmes, de leurs enfants et de leurs grands parents, et ils ne s'arrêtaient pas devant cette considération que ces naissances resteraient incertaines, sans preuves dans l'avenir. » La loi du 5 avril 1884 relative à l'organisation municipale prévoit l'obligation pour les mairies de prendre sur leur budget la délivrance des livrets de famille[49]. Elle est constituée de 249 volumes de 200 pages, chaque page contenant 12 fiches, ce qui représente près de 600 000 mariages(et quelques baptêmes et sépultures) relevés. Registres paroissiaux : baptême, mariage et sépulture. Registres paroissiaux C'est grâce à François Ier que les Français peuvent se flatter d'avoir l'état-civil le plus riche et le plus ancien. Pendant la Révolution française, l'Assemblée nationale législative, par la loi du 22 juin 1792, décrète comme principe qu'à l'avenir, les municipalités recevraient et conserveraient les actes de l'état civil[13]. Dans la capitale, conformément au décret, les registres paroissiaux sont déposés dans les mairies des douze arrondissements que compte Paris à partir de la loi du 19 vendémiaire an IV (11 octobre 1795)[15]. Retrouvez ici tous les registres numérisés partagés par nos membres : liasses notariales, registres paroissiaux, tables décennales, listes diverses, etc. Ces extraits se rapportent à des personnes nobles ou notables, et sont conservés au Département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de France. Les communes annexées partiellement gardent en revanche tous leurs registres[21]. Registres paroissiaux et d'état civil Toutes les collections existantes pour la Manche jusqu’en 1892 ont été microfilmées et mises en ligne. La disparition de l'état civil parisien ancien est aussi pour beaucoup dans l'idée de la création du Livret de famille : ce livret est institué en 1877 par la circulaire de Jules Simon, président du Conseil et ministre de l'Intérieur[48]. Après la rénovation de l'hôtel de Saint-Aignan en 1978, les Archives de Paris y sont installées. Quant aux registres de sépulture, ils sont souvent tenus en un seul exemplaire et donc toujours conservés par les paroisses. Registres paroissiaux et d'état civil. Or, cette paroisse comptait 395 registres pour la période 1529-1789[40]. Abbé Migne, Encyclopédie théologique, tome 36, Paris, 1849, p. 105. Les archives de Paris, les archives parisiennes en accès libre et gratuit canadp-archivesenligne.paris.fr/. St-Gall : les registres paroissiaux de moins de 100 ans Il y a donc 6 cantons qui ont mis une partie de leurs registres paroissiaux en ligne. [...] Si je prévoyais les révolutions, si je pensais qu'on pourrait revoir la terreur, je ne prévoyais pas qu'on s'attaquerait à d'innocents recueils de documents où le pauvre, le roturier, l'artiste, l'artisan, sont côte à côte avec le riche, le noble, le partisan, le ministre, le prince[36]. Il faut ajouter à cela les registres paroissiaux des communes totalement annexées à Paris en 1860 : Ce qui a survécu tient en peu de choses, 29 articles de la série V.6E des Archives de Paris. On constate que plusieurs paroisses, qui n'en étaient pas réellement sous l'Ancien régime, débutent à 1791, telles que Saint-Ambroise, Saint-François d'Assise, Saint-Germain-des-Prés, Notre-Dame.