Peut-on espérer dire un jour : Adieu souffrance! Comme on le dit sur le quai d’une gare… lors du départ d’un vieil ami… puis, le regarder s’éloigner petit à petit… de plus en plus, s’éteindre au loin… tout doucement… comme la neige fond au soleil, est-ce vraiment possible de se départir de toute souffrance? Une fois pour toutes! Individuellement… et collectivement, certes, également, ce faisant….

À l’inverse, ne jamais envisager un tel scénario est un chemin qui conduit à ne jamais rencontrer une telle délivrance dans sa vie… une telle possibilité de Libération. D’autant plus, qu’à force de se dire et de se raconter – tant personnellement que collectivement – constamment les mêmes discours, les mêmes points de vue, de moult manières de concevoir la Vie, sous les mêmes angles de pensée posés sur elle, par exemple, que « la souffrance fait partie intégrante de la vie et que nul ne peut s’en dissocier » ou « nul ne peut s’en exclure » et encore, maintenir le point de vue que « pour devenir beau, la souffrance est non seulement utile mais nécessaire ». Un véritable sable mouvant : la croyance – coûte que coûte – en la souffrance…

Comment faire autrement que ce que l’on nous a toujours appris et transmit collectivement? De génération en génération. Tels sont nos conditionnements « intergénérationnels ».

Et encore, peut-on mettre un terme à la souffrance sans en créer de nouvelles? Quitter définitivement nos croyances en la souffrance? Peut-on vraiment dire : Adieu souffrance! Sans malaise et sans heurts? Ce n’est qu’avec courage, détermination et persévérance que nous pouvons avancer sur ce chemin le moins fréquenté – la route menant vers le mieux-Être – vers Soi!

Dans la vidéo intitulée Un siècle de sagesse, à propos d’une survivante de l’Holocauste, une dame centenaire tout à fait remarquable – ces mots ne sont pas assez forts pour rendre hommage à cette dame -, madame Alice Sommer-Herz ( aussi connue comme Alice Sommer, née le 26 novembre 1903 et morte le 23 février 2014, est une pianiste et professeur tchèque de musique, rescapée du camp de concentration de Theresienstadt. Elle vivait dans le nord de Londres, Royaume-Uni depuis 1986, et était, à la fin de sa vie, la survivante la plus âgée connue de la Shoah, 110 ans), voir aussi le film documentaire GAGNANT d’un Oscar 2014, des Malcolm Clarke and Nicholas Reed intitulé: THE LADY IN NUMBER 6: MUSIC SAVED MY LIFE – que je vous conseille vivement de visionner. De même que l’interview réalisée par Anthony Robbins, où il est dit :

Le secret du Bonheur c’est la Liberté.

Et le secret de la Liberté, c’est le Courage.

Madame ALICE SOMMER HERZ

Telle est la route, celle du Courage, de la Liberté d’Être – et Liberté de tous ces conditionnements reçus et erronés à propos de la Souffrance – et du Bonheur ce chemin peu fréquenté qui vous est proposé ici. Accompagné. Soutenu. Pas à pas. Au quotidien. À l’aide de rencontres de personne à personne, du Web et d’« Outils Psychologiques^TM » faciles à mettre en pratique dans sa vie de tous les jours. Concrètement applicables. Donc, efficaces. À travers et à l’aide du brouhaha de la quotidienneté. Afin d’y découvrir sa vraie condition : Soi. Dé-Faire des siècles de conditionnements menant qu’à la souffrance. Et dire consciemment : Bonjour la Vie !

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 Ce texte est tiré de l’Ouvrage Bonjour l’Amour Adieu violence!

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Richard LaChance ©2013-2020. Tous droits réservés

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